Un tragique accident de la route a endeuillé le Cameroun le 9 juillet 2025, sur l’axe Ekona-Muyuka dans la région du Sud-Ouest. Deux véhicules sont entrés en collision, causant la mort d’au moins sept personnes et blessant plusieurs autres. La gendarmerie nationale a ouvert une enquête pour déterminer les causes exactes de ce drame, mais les routes délabrées de la région sont déjà pointées du doigt par les habitants. Cet axe, situé dans une zone en proie à la crise anglophone, est notoirement dangereux en raison de son mauvais état et de l’insécurité ambiante.
Les populations locales dénoncent depuis des années l’absence d’entretien des infrastructures routières, qui augmente les risques d’accidents mortels. Ce drame a ravivé le débat sur la sécurité routière dans tout le pays, où les accidents tuent des milliers de personnes chaque année. Les autorités ont promis des travaux pour améliorer les routes, mais les projets, comme celui de l’autoroute prévue pour 2031, avancent à un rythme jugé trop lent par les citoyens. Les familles des victimes exigent justice et des indemnisations rapides, tandis que les transporteurs dénoncent des taxes routières élevées sans améliorations visibles.
Dans le Sud-Ouest, les routes secondaires, souvent impraticables en saison des pluies, aggravent les dangers pour les usagers. La société civile appelle à des contrôles plus stricts des véhicules et à des investissements urgents dans les infrastructures. Ce drame, bien que localisé, reflète un problème national, avec des routes vétustes dans de nombreuses régions. Les habitants organisent des pétitions pour exiger des réformes, tandis que les autorités locales promettent des inspections régulières. Les partenaires internationaux pourraient jouer un rôle clé en finançant des projets routiers modernes. Cet accident souligne l’urgence de prioriser la sécurité routière pour sauver des vies et réduire les souffrances des familles endeuillées.
Les populations locales dénoncent depuis des années l’absence d’entretien des infrastructures routières, qui augmente les risques d’accidents mortels. Ce drame a ravivé le débat sur la sécurité routière dans tout le pays, où les accidents tuent des milliers de personnes chaque année. Les autorités ont promis des travaux pour améliorer les routes, mais les projets, comme celui de l’autoroute prévue pour 2031, avancent à un rythme jugé trop lent par les citoyens. Les familles des victimes exigent justice et des indemnisations rapides, tandis que les transporteurs dénoncent des taxes routières élevées sans améliorations visibles.
Dans le Sud-Ouest, les routes secondaires, souvent impraticables en saison des pluies, aggravent les dangers pour les usagers. La société civile appelle à des contrôles plus stricts des véhicules et à des investissements urgents dans les infrastructures. Ce drame, bien que localisé, reflète un problème national, avec des routes vétustes dans de nombreuses régions. Les habitants organisent des pétitions pour exiger des réformes, tandis que les autorités locales promettent des inspections régulières. Les partenaires internationaux pourraient jouer un rôle clé en finançant des projets routiers modernes. Cet accident souligne l’urgence de prioriser la sécurité routière pour sauver des vies et réduire les souffrances des familles endeuillées.